13 novembre. Les mots de Louis Aragon.
Ce « Paris que j’ai », c’est pour moi celui des terrasses qui s’époumonent jusqu’à tard dans la nuit, des verres qui s’entrechoquent et des rires qui fusent, celui des soirées d’éclat et des matins bleu gris, de la musique qui bat et des gens qui dansent.
Celui qu’on a hâte de retrouver ❤️